Poèsie

Nombre de messages : 834 Date d'inscription : 30/10/2006

Citation :: J'ai corrigé 2, 3 fautes pour quand tu le donneras à l'éditeur

il le fera lui même t'inquiète pas Wink

il est bien fanzzly

Nombre de messages : 99 Date d'inscription : 17/12/2006

Krünk a écrit:

Ego a écrit:: J'adore ce poeme, surement à cause de son auteur...

Ca pue le victor hugo.... MrGreen

Et alors, t'aime pas Hugo? MrGreen

Nombre de messages : 877 Age : 43 Date d'inscription : 07/12/2006

Sako a écrit:: merci! j'en remetterai alors si vous aimez bien

moi j'en plein de toi
je suis conquise par ta prose

Nombre de messages : 834 Date d'inscription : 30/10/2006

alors je t'en metterai, des poèmes bien sur!

Ego a écrit:

Krünk a écrit:

Ego a écrit:: J'adore ce poeme, surement à cause de son auteur...

Ca pue le victor hugo.... MrGreen

Et alors, t'aime pas Hugo? MrGreen

Non..... idem pour Balzac, Zola, Maupassant... etc

Nombre de messages : 1011 Age : 40 Date d'inscription : 18/09/2006

Et Flaubert !
Ah Madame Bovary ! Le pire livre qu'il me fut donné de lire lol!

Et Sendhal aussi..... le rouge et le noir.... What a Face

Nombre de messages : 1011 Age : 40 Date d'inscription : 18/09/2006

A l'heure où je buvais, je voyais mes amis,
Les faux qui m'abreuvaient pour se sentir grandis,
Les vrais qui déploraient, embarrassés, peinés
Et, au fond de mon verre, bien d'autres vérités.

A l'heure où je buvais, j'attribuais mes pleurs
Au feu de mes entrailles que de violents haut-le-coeur
M'obligeaient à répendre sur le pavé glacial
Où je m'étais vautré d'une glissade infernale.

Mais à l'heure où j'écris la douleur qui m'assaille,
Ma vie est une erreur dans ses moindres détails
Et je caresse alors le désir trop pervers
De chercher la folie tout au fond de mon verre.

Nombre de messages : 834 Date d'inscription : 30/10/2006

Citation :: Non..... idem pour Balzac, Zola, Maupassant... etc

Maupassant quand même!!! Rolling Eyes

sinon une page de balzac et au lit ça fonctionne!

Non, je t'assure que je ne porte pas une affection particulière pour Maupassant..... ce n'est pas une aversion comme pour Balzac par exemple, mais je ne trouve aucun plaisir particulier à le lire.

Nombre de messages : 834 Date d'inscription : 30/10/2006

ok il va être triste de l'apprendre...

J'espère qu'il ne va pas en mourrir.... MrGreen

Nombre de messages : 834 Date d'inscription : 30/10/2006

espérons... Mais c'est pas sur, ça va lui faire un choc! Grin

Nombre de messages : 834 Date d'inscription : 30/10/2006

toujours en anonyme

Le temps a passé, il est trop tard
On s’est cherché sans jamais se trouver
Peut-être aurions nous du ravaler la fierté
Partager quelque mot, quelque regard

Seul le sang dans mes veines nous lie
Tant de distance alors que nous sommes si près
Je voulais un rocher pour me protéger
Des vagues de cruauté qui déferlent dans ma vie

Mais tu étais transparent, tu devenais horizon
J’ai du traversé ce putain de monde seul
Je voulais trouver en toi une terre d’accueil
Mais tu étais aussi renfermé qu’une prison

Le ciel à ses étoiles et la lune
L’océan à ses poissons et ses bateaux
Le désert à son sable et ses dunes
Et moi une mère et une photo

Je ne n’ai jamais prononcé ce mot
Pourtant si simple et si beau
J’aurais aimé te dire une fois
Que j’ai besoin de ta présence, PAPA.
________________

En amour, il n’existe aucune loi
il faut Juste en subir les choix
L’un rit, l’autre pleure
L’un vie, l’autre meurt

Au travail, subir la hiérarchie
Devenir un insecte rampant
Juste pour quelque somme d’argent
Qui aide à supporter l’agonie

En société, mieux vaut faire profil bas
Il faut toujours garder ce niait sourire
Dire c’est bien ici, pensé c’est mieux la bas
S’armer d’hypocrisie pour faire plaisir

Aujourd’hui j’ai enfin trouvé la solution,
J’ai pressé le bouton, coupé le fil de vie
Ni enfer ni paradis, que terre et poussière
Je n’ai vu aucune lumière comme il était dit
Je n’aurai été sauvé par aucune prière
Seul le noir de la tombe, encore seul comme un con
_____________________________________

J’erre dans la nuit froide et humide.
Je respire son odeur fétide,
Le vent me glace le sang
J’avance d’un pas lent.
Aucune lumière à l’horizon
Seul la lune émet quelque rayon
M’indiquant la route à suivre
Pour rejoindre la dérive.
Je ne supporte plus le mal, la douleur.
Peu à peu mon corps se meurt.
J’arrive enfin au lieu dit
Je vois la délivrance qui me sourit
Elle arrive à vive allure
Je vais bientôt respirer l’air pure.
Je suis désigné, la lumière m’éclaire.
Sous le projecteur le temps d’un éclair
Me revoilà dans le noir complet
Mais plus de prison, je suis libéré
Je n’ai plus aucune souffrance
Je m’éloigne dans les cieux, enfin je pense.
J’ai laissé dans ce monde mon corps
Mon âme par vivre dans la mort.

J'aime bien la première car chaqu'un vit toujours un peu ça